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Priorités de mandat

Législatives 2022 : bilan et continuité

Mon leitmotiv en politique, c’est la cohérence et l’inscription de tous mes choix, de tous mes actes, dans une continuité, que je considère fondamentale en politique. Si je ne suis pas le député sortant de cette 15e législature, je n’en demeure pas moins un ancien parlementaire, puisque j’ai effectué mon premier mandat à l’Assemblée nationale entre le 20 juin 2012 et le 20 juin 2017.


En tant que député, j’ai beaucoup œuvré pour vous représenter et défendre les intérêts de la Corse. Voici quelques outils pour mieux comprendre mes travaux menés en commission et mes interventions dans l’hémicycle, tout en appréhendant ensemble, et dès aujourd’hui, les enjeux de demain.



Au service de la Corse

À la sortie du Grand débat, Emmanuel Macron a souhaité lancer un nouvel acte de décentralisation, en retenant la notion de « différenciation territoriale », afin de garantir que les décisions soient prises au plus près du terrain. Mais au-delà de cette notion de « différenciation », j’ai toujours préféré être attentif aux mesures en faveur de l’équité territoriale, qui me semble être un enjeu plus urgent pour la Corse.


1. LA SANTÉ : RATTRAPER LE RETARD EN CORSE

S’il y a bien un domaine dans lequel il faut investir d’urgence sur notre île, c’est celui de la lutte contre les déserts médicaux et notre retard d’équipement.

Confrontés à l’explosion virale du Covid-19, alors que les lits de réanimation étaient pleins, nos hôpitaux ont littéralement saturé. Sans l’évacuation de nos malades, la déprogrammation générale de toute l'activité chirurgicale et l’incroyable témérité de nos soignants, nous n’aurions pu faire face à la pandémie. Mais cet engorgement n’est pas récent, et s’il a été particulièrement mis en lumière lors de la crise, il est bien évident que nous ne sommes pas suffisamment armés pour traiter nos patients. Qu’ils soient résidents ou vacanciers. Ajoutons à cela, la sur-incidence observée pour les cancers pulmonaires en Corse par rapport au continent, il apparaît bien évident que mes travaux démarrés en 2012 sur ces problématiques sont plus que jamais d’actualité : revalorisation des professionnels de la santé, compensation des surcoûts liés à l’insularité, allégement des frais de franchises médicales pour les retraités, déremboursement de certains traitements...

La Collectivité de Corse doit également disposer d’une compétence dans ce domaine, ce qui lui permettra d’apporter des réponses adaptées aux besoin du territoire et d’être actrice de la politique régionale de santé.

L’installation d’un TEP scan et d’un cyclotron médical doit être priorisée au niveau local et défendue au niveau national.

Dans le même esprit, il nous faut obtenir la reconstruction de l'Hôpital Eugénie dans les meilleurs délais.


2. L'ÉCOLE D'ABORD

L’avenir de nos enfants et leur réussite sont des enjeux que je considère comme des préalables à tout projet de société. En 2013, j’alertais le ministre de l’Éducation nationale sur le projet de refondation des rythmes scolaires et ses conséquences sur sa mise en œuvre dans les collectivités. En clair, sur sa faisabilité, au quotidien, dans les écoles. En 2022, mes principes de base en la matière demeurent inchangés : les mesures pensées à Paris doivent impérativement pouvoir s’adapter facilement à l’échelon local. Cohérence et souplesse dans leur application sont les maîtres-mots et l’État doit tenir compte cette exigence dans la définition des circulaires et autres protocoles.

Dans le même esprit, je ne transigerai jamais sur la place de l’enseignement des langues régionales et sur l’importance de valoriser les personnels de santé en milieu scolaire (infirmiers, psychologues, éducateurs spécialisés etc.).

3. SAUVER NOTRE PATRIMOINE NATUREL

Chaque année, l'ONG Global Footprint Network calcule le désormais tristement célèbre « jour du dépassement », en croisant les donnés de notre empreinte écologique et la capacité des écosystèmes à se régénérer et à absorber les déchets produits par l’Homme. Cette année, le « jour du dépassement » pour la France tombe début mai, environ 5 mois plus tôt qu'en 1960. Nous le savons, cet indice ne cesse de se dégrader depuis des décennies et nul n’est épargné. La Corse, qui possède 1000 km de côtes, est régulièrement victime de pollutions aux hydrocarbures en mer, d’incendies qui ravagent ses villages, de tempêtes dévastatrices, d’épisodes de pollution aux particules fines, d’inondations qui détruisent tout sur leur passage... Plus que jamais, il est nécessaire de s'attaquer à la crise climatique et environnementale qui s’intensifie en Méditerranée et d’accélérer nos efforts.

En novembre 2014, je m’adressais déjà à la ministre de l’Écologie en exercice, Mme Ségolène Royal, concernant la transition énergique de notre île :


En effet, l’avenir des centrales thermiques de Lucciana et d’Ajaccio est, selon moi, le point de départ de toute ambition de politique environnementale en Corse.

Il est parfaitement intolérable que la centrale au fuel lourd du Vazzio soit encore en fonctionnement en 2022. Il n’est pas question pour moi de m’affranchir de ce dossier, car il en va de notre capacité à améliorer nos conditions de vie et celles de nos enfants. Convertir nos centrales, c’est améliorer considérablement la qualité de notre air, mais c’est aussi permettre les investissements nécessaires pour brancher les navires à quai dans nos ports.


Même motivation pour le golfe de Porto, dont je me préoccupais déjà en juillet 2012, à cause de sa surfréquentation. Depuis, la réserve de Scandola a perdu son diplôme européen d’espace protégé et je suis très inquiet de son devenir. Je suis partisan de renforcer la protection de tous les espaces naturels en Corse et de réglementer leur capacité à accueillir du public. Si vous m’accordez votre confiance les 12 et 19 juin prochains, je ferai de la cause environnementale en Corse une priorité de mandat, comme je l’ai fait en tant que maire d’Ajaccio et président de la CAPA, en lançant notamment un programme de transition énergétique visant à remplacer l’utilisation des énergies fossiles.


4. POLICE, JUSTICE : LUTTER CONTRE LA CRISE DE CONFIANCE

Notre île a été le théâtre de vives tensions suite à la terrible agression en prison d'Yvan Colonna, le 2 mars dernier. Depuis toujours, j’en appelle l'ouverture d'un dialogue apaisé avec État et je regrette le report de la rencontre initialement prévue début avril, entre la délégation de l’assemblée de Corse et le ministre de l'Intérieur. Il est bien évident que de nombreuses causes viennent alimenter ce contexte général de défiance envers le gouvernement.

Mais je déplore que nous, les élus de la Corse, n’ayons pas été entendus, à de nombreuses reprises, sur le rapprochement familial des prisonniers.

En juillet 2012, j’interrogeais déjà la Garde des sceaux sur cette question, en rappelant les règles pénitentiaires européennes, très claires en la matière. Depuis, et durant toutes ces années, ce déni d’application du droit pour certains détenus corses a provoqué des situations humaines dramatiques, et a engendré l’embrasement de la Corse. C'est pourquoi, en tant que corse et en tant qu’avocat, je continuerai à rester très actif sur cette question particulièrement sensible. Il en va de même sur la situation des établissements pénitentiaires en Corse, qui, depuis mon intervention en 2014, n’a que très peu évolué. Je ne me satisfais pas des conditions de travail des personnels et de la vétusté des équipements. Élu député, je saurai me souvenir des promesses annoncées par le ministre de l’Intérieur concernant le manque de moyens dont souffrent la justice et la police nationale en Corse (manque d’effectifs, non- remplacement de fonctionnaires, équipements obsolètes...). J’ai d’ailleurs saisi Gérald Darmanin une nouvelle fois, au mois de février dernier, sur cette question.


5. PROTÉGER NOTRE AGRICULTURE

Le chômage continue de baisser en Corse : selon un dernier rapport publié par Pôle Emploi, on recense 13 320 demandeurs d'emploi sur l'île (en catégorie A). C’est une bonne nouvelle, mais notre taux de pauvreté reste le plus élevé de France métropolitaine (18,5% contre 15% au niveau national). Le secteur tertiaire, le principal employeur sur notre île, représente 79% des postes, notamment dans l'hébergement et la restauration. Mais l'agriculture, qui représente 4% de nos emplois, a un poids environ deux fois plus élevé qu'à l'échelle nationale. C’est une des raisons qui explique que j’ai toujours mis un point d’honneur à traiter les questions relevant de la défense de nos agriculteurs et de nos professionnels du tourisme, notamment quand j'étais député :

• La mise en œuvre de la PAC et la nouvelle baisse des droits à paiement unique ;

• L’aide à l'hectare en Corse ;

• Le problème des cynips du châtaignier et les difficultés rencontrées par les

producteurs ;

• L’instauration de zones franches dans les zones de revitalisation rurale ;

• Fiscalité : les conséquences de l'augmentation du taux de TVA dans l'hôtellerie et

la restauration.

Le chemin est encore long mais c'est avec l'énergie et l'abnégation que vous me connaissez que je vous propose de le poursuivre.


6. PLACE AUX TERRITOIRES

Maire d’Ajaccio, président du Pays ajaccien, président d’Un soffiu novu à l’assemblée de Corse, je suis bien entendu très sensible aux problématiques qui touchent les régions rurales et de montagne. Nos spécificités ne sont pas suffisamment prises en compte à Paris. Depuis mon entrée en politique, je rencontre les habitants de nos villages : tous me disent combien la vitalité de leur territoire dépend de la présence et de la qualité de nos services publics. C’est pourquoi j’ai toujours défendu l’idée de renforcer le maillage territorial de nos équipements publics, facteurs d’attractivité et de développement des communes reculées. Mes prises de position en tant que député ont toujours relevé de ce constat, et c’est dans son prolongement que je m’engage à poursuivre mon engagement pour la Corse.

Je m’assurerai que toutes les décisions qui nous concernent entrent en cohérence avec nos particularités, en pondérant, entre autres, les notions de seuils et de normes, par des critères objectifs, notamment pour ce qui concerne nos écoles.

La spécificité de notre territoire se trouve aussi dans ses contraintes en matière de transports. L’enjeu, crucial, c’est la continuité territoriale du service public, et donc l'égalité entre tous les citoyens, insulaires ou non, de pouvoir se déplacer librement, facilement. Comme je l’ai fait entre 2012 et 2017, c’est bien évidemment un sujet sur lequel je mobiliserai l’État.




Au service de la France

Rapporteur de la commission des affaires sociales de 2012 à 2017, j’ai longuement travaillé sur les problématiques liées à l’emploi, à la santé et à la solidarité, au financement de la sécurité sociale et l’égalité des chances. Mes propositions en matière de prévention, de réparation et de tarification des risques professionnels (accidents du travail, maladies professionnelles, pénibilité), construites avec les partenaires sociaux à l’époque, sont d’une actualité surprenante. A fortiori face à l’émergence des nouveaux risques liés à la transformation numérique et au télétravail (champs électromagnétiques, droit à la déconnexion, isolement...), sur lesquels nous devrons être particulièrement vigilants ces prochaines années.


Le constat est le même pour ce qui concerne la politique en faveur de nos concitoyens en situation de handicap : la travail est encore loin d'être suffisant en matière d’inclusion, d’accessibilité et de changement des mentalités. Là aussi, je m’efforcerai d'assurer la continuité de mes travaux en la matière.

Car nous devons tout mettre en œuvre pour préserver l’autonomie des personnes handicapées et éviter autant que possible leur placement en établissement.

Quelques exemples défendus entre 2012 et 2017 :

• Prêt à taux zéro pour l’aménagement du domicile ;

• Prêt à taux zéro et assouplissement des conditions d’accès pour une première

accession à la propriété ;

• Priorité pour les logements sociaux situés en rez-de-chaussée...


Dans le domaine de la dépendance, je m’inscrirai dans une politique en faveur du maintien à domicile des personnes âgées, par la revalorisation des prestations comme l’APA, qui permettent, par une présence plus importante, d’éviter le plus longtemps possible le recours au placement en institution. Et quand le placement intervient, une vigilance accrue devra être assurée par les organismes de contrôle, afin d’éviter tout risque de maltraitance. Au niveau local, je poursuivrai mon action pour obtenir la reconstruction de l’Hôpital Eugénie dans les meilleurs délais.



LES GRANDS SUJETS DE SOCIÉTÉ

Mon parcours politique, de conseiller municipal d’opposition en 2008, à député de la 1ère circonscription de la Corse-du-Sud en 2012, jusqu’à ce jour, m’a amené à m’emparer de grands sujets de société, devenus ensuite de véritables raisons d’être.


Vous en connaissez certains, d’autres sont plus récents :


Vous le savez, j’ai une vision gaulliste de notre Constitution : je me suis continuellement exprimé en faveur de d’un pouvoir exécutif fort et stable, où l’ordre républicain est garant de la sécurité et des libertés publiques.

J’ai plaidé, souvent, pour l’augmentation significatives des moyens alloués aux forces de police et l’instauration systématiques de sanctions exemplaires à l’encontre des comportements les plus violents (casseurs, peines planchers pour ceux qui s’en prennent aux forces de l’ordre et aux secours, lutte contre les réseaux de trafiquants et de traite d’êtres humains, tolérance zéro à l’encontre des terroristes...).

Mais parce que l’efficacité et la célérité de la justice prévalent à toute mesure répressive, et qu’en tant qu’avocat, j’ai bien conscience des obstacles, je m’engage à poursuivre mes travaux en faveur de la réforme pénale et du système carcéral.

Le champ d'intervention est très large :

- prévention des conduites à risques chez nos plus jeunes,

- usage et au trafic des stupéfiants,

- ouverture de nouvelles places de prison,

- réinsertion de détenus,

- accompagnement des acteurs de la justice dans leurs missions, grâce aux solutions numériques (e-justice),

... le travail est dense... et urgent.


Dans le prolongement de ces réformes, j’ai pris conscience, assez récemment, qu’un nouveau combat s'imposait à nous : la régulation et la pénalisation des contenus toxiques en ligne, les « cyber risques », qui empoisonnent notre vie et, plus grave encore, celles de nos plus jeunes.


Parce que je considère que l’enfance est sacrée, je fais de mon quotidien de maire et de président d’agglomération une lutte pour améliorer leurs conditions de vie et d’éveil.

Du harcèlement à l’école aux violences intrafamiliales, de la lutte contre la grande précarité à celle des discriminations de toute forme... mon mandat de député donnera la priorité à ces urgences de notre siècle.


Mais celles-ci ne sauraient trouver d’écho sans que nous ne misions davantage sur l’école de la République et son personnel éducatif.

Depuis mon intervention sur le projet de loi de finances pour 2013, je n’ai pas changé d’avis sur la revalorisation indispensable des professeurs et l’augmentation de leurs salaires.

Le déclassement du métier d’enseignant une véritable catastrophe pour notre société.


Alors qu'une nouvelle (et indispensable) réforme des retraites s’installe dans le paysage législatif depuis quelques années, je souhaite que nous accordions une attention toute particulière aux plus fragiles d’entre nous. En juillet 2013, j’alertais la ministre des Affaires sociales et de la Santé sur la situation des seniors en fin de droits de chômage.

Plus que jamais, à l’aune d’une crise économique mondiale, il nous faut être très vigilants sur les situations de précarisation extrême et sur celle des travailleurs ayant exécuté un métier pénible toute leur vie.

La retraite minimum de 1100€ est une première étape.


En matière économique, mon objectif a toujours été celui de desserrer l'étau des normes et taxes que nous imposons à nos entrepreneurs, afin de baisser le coût du travail. Depuis mars 2020, l’arrêt brutal puis la reprise progressive de l’activité en raison de la pandémie de Covid-19 ont entraîné une crise économique et sociale majeure en France. Il nous faut d’urgence recréer un environnement qui encourage les entreprises à se spécialiser et à innover.

En résumé, aider nos entrepreneurs à restaurer leur compétitivité pour qu’ils soient en mesure de recruter.

Cela passera immanquablement par la baisse des prélèvements sociaux et par une politique fiscale toujours plus favorable à l’investissement. Je reste également fidèle à mes convictions concernant l’importance de poursuivre notre travail en faveur de l’apprentissage, et soutiendrai inlassablement les programmes de valorisation de l’artisanat.


Toutes ces mesures n’auront de sens que si nous faisons figurer la protection de l’environnement en tête de liste de nos préoccupations.

D’ici 2030, nous devrons réduire drastiquement nos émissions de gaz à effet de serre. Comment mener une telle transformation ? À quel rythme ? Avec quels moyens ? Voilà les questions auxquelles il nous faudra répondre, rapidement. Si je me suis toujours senti très concerné par cette cause, notamment par les problématiques étroitement liées à la qualité de notre air et de nos eaux, aux conséquences dramatiques de la pollution sur la biodiversité et à la cause animale, vous pourrez compter sur toute mon énergie pour travailler à la définition d’une stratégie claire, qui aura pour objectif d’inverser la trajectoire du déclin et susciter des changements profonds dans notre société. Je pense, entre autres, au récent rapport de l'Inrae et l'Ifremer, qui souligne la contamination de notre environnement par les pesticides, et leur impact désastreux sur les écosystèmes.


En avril 2013, j’attirais l'attention de la ministre des Affaires sociales et de la Santé, sur la présence des perturbateurs endocriniens dans certains produits cosmétiques et d'hygiène. À l’époque, l'Organisation Mondiale de la Santé et le programme des Nations-unies pour l'environnement les considéraient déjà comme une menace mondiale pour la santé.

Neuf ans plus tard, je me satisfais que nous ayons évolué sur ces questions et que le concept de « santé environnementale » prenne toute sa place dans le débat public.

Bien sûr, il nous faudra aller encore plus loin, pour atteindre un niveau de qualité environnementale qui ne mette plus en péril notre santé.



Horizons : faire avancer la Corse avec le soutien d'Édouard Philippe


En fin d’année 2021, j’annonçais mon adhésion pleine et entière à « Horizons ». Après avoir quitté « Les Républicains » en 2017 pour fonder mon propre mouvement local, « Ajaccio ! Le Mouvement », je n’avais guère l’intention de me rallier à un nouveau parti politique national.

C’est alors qu’Édouard Philippe m’a contacté, bien décidé à défendre notre héritage politique et à porter haut nos valeurs de la droite et du centre.

«Il faut élever le débat public », m’a-t-il dit.

Nous avons échangé, longuement, sur nos convictions profondes, mais aussi sur les sujets sur lesquels lui et moi avions évolué, depuis nos débuts ensemble sur les bancs de l’Assemblée nationale.

Horizons a pour ambition de construire des propositions et de sortir de l’omniprésence de l’immédiateté. Au-delà de ma loyauté envers l’ancien Premier ministre, je me reconnais dans cette aspiration.

C’est donc au sein du groupe parlementaire d’Horizons que je siégerai, si vous me faites l’honneur de votre confiance, les 12 et 19 juin prochains. Nos interventions s’intéresseront tant aux sujets qui traitent de notre quotidien, que des enjeux nationaux dont nous devons nous saisir, à l’horizon 2030...


Voici quelques exemples de grands dossiers dont je souhaite m’emparer en priorité, avec l’appui de l’ancien Premier ministre :


Éducation & enseignement supérieur

La lutte contre le harcèlement scolaire et cyber harcèlement

La promotion des filières liées au numérique

L’école : moteur de l’ascension sociale, de la reconnaissance, du mérite et de

l’excellence

Mieux préparer les étudiants à l’emploi : faire correspondre l’offre universitaire

aux besoins actuels de nos entrepreneurs

Améliorer la mobilité des étudiants en Europe

Miser encore davantage sur la formation artisanale et l’apprentissage


Économie, emploi

Prendre des mesures d’urgence en faveur du pouvoir d’achat

Traiter la dette publique et ses enjeux de souveraineté induis

Miser sur le numérique, accompagner les start-up qui innovent en faveur de la

transition écologique (la « green tech »)


Renforcer la présence de la Corse en Méditerranée et en Europe

S’appuyer sur l’économie bleue, mais jamais au détriment de la qualité de l’eau et de l’air


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